Depuis Bangkok nous avons pris un train de nuit pour aller à Chang mai, dans le nord de la Thaïlande. Le trajet a duré 12h mais les lits étaient confortable donc ça a été plutôt agréable. Comme à Bangkok, la ville fêtait le nouvel an Kmer. A Chang mai en revanche, le festival de l’eau durait 3 jours, et nous sommes arrivés pendant le deuxième. Impossible donc de se balader ans les rues sans être arrosé, et bien sûr il était inconcevable de sortir sans son arme (à eau bien sûr). Nous avons donc passés deux jours complètement humide. Pour dire la vérité, nous étions plutôt content lorsque ça s’est arrêté, car être trempé tout le temps c’est marant mais pas trop longemps.
Le troisième jours, nous sommes allés nous prélasser dans une carrière désaffectée, appeller très humblement, grand canyon.
Notre but dans le nord, était de le visiter en moto. Nous avons donc cherchés une moto à notre goût. Nous avons pris des motos de 150cc afin de pouvoir grimper les côtes sans trop de problème. C’était un pure bonheur de conduire cette moto, tout fonctionnait à merveille, le neutre était facilement trouvable, les vitesses passaient sans effort et elle ne faisait pas un bruit. En fait c’était juste une moto normal, mais après trois mois avec une moto chinoise qui était plus veille que moi, celle là paraissait extraordinaire.
Notre première destination était Chang rai, à un peu moins de 200 km. C’était principalement de l’autoroute avec quelques passages montagneux. Chang rai est une ville de taille moyenne, qui est plutôt relaxe. Elle n’est pas très loin de la frontière du Myanmar (ex Birmanie) et du Laos. Nous sommes donc allés voir le triangle d’or qui est la frontière entre c’est trois pays. Le mekong s’occupe de séparer la Thaïlande du Laos, quand à la séparation Myanmar Thaïlande, c’est un plus petit cour d’eau.
Cette zone est appelée le triangle d’or en raison des cultures et du traffic de l’opium très présent
La deuxième journée, nous avons fait un petit tour autour de la ville, le premier arrêt à été très bizarre, moralement parlant. En effet, un peuple appelé les “long cou” en raison des sortes de coliers que les femmes portent qui donne l’impression que le cou est long, vie dans les montagnes thailandaise et birmane. Ces gens n’ont aucune nationalité, et ont été expulsés du Mynamar, car ils en ont refusés le passport.Le gouvernement thailandais lui, les autorise à rester mais ils n’ont pas le droit de travailler ni même de sortir de leur village. Il y a donc un village que l’on peut visiter. Seulement lorsqu’on le visite ont à l’impression d’être dans un zoo, ce qui est assez dérangeant lorsque les spécimens à voire sont des humains. Bref, à peine rentré nous avons tous regrettés.
Nous sommes ensuite aller visiter le temple noire, dans lequel des artistes exposent leurs oeuvres.
Après le temple noir, nous aller voir le temple blanc, qui est vraiment beaux et moderne.
Nous ensuite pris la direction de Pai, mais nous avons fait une étape d’une journée à Chiang Dao. Contrairement à la route pour aller à Chiang rai, ce n’était pas une autoroute, mais plutôt une petite route de montagne sur laquelle Julien et moi avons pris un sacré pied dans les virages.
C’est une ville minuscule, avec deux trois trucs à voir autour. La principale chose est une grotte, dans laquelle nous avons explorés une grande partie à l’aide du flash de mon téléphone, et entourés de chauve souris. Je n’ai pris aucune photos car cela ne rendait pas grand chose.
Nous nous sommes rendu ensuite dans un temple sur les hauteurs.
Nous avons finis la journée en se promenant à bord de nos pépèttes et avons joués au foot avec des gamins du coin.
A suivre…
Coucou Bastounet, je suis super heureuse de te lire…Nous sommes suspendus à tes lèvres.
Ce matin tu as tenté de nous joindre et nous étions aussi sur nos montures à deux roues.
Mandres-les-roses nous accueillait pour un rallye: avec les cyclos de notre club on a choisi de faire le parcours de
63 km…Et c’était très bien on était en pleine campagne et le temps ensoleillé ne nous a pas quitté.
Les femmes au long cou dont tu parles sont des femmes padaung…ou femmes “girafes”
C’est horrible, quelle torture inflige-t-on encore aux pauvres femmes de ce monde?
Plus elles sont riches, plus elles ont d’anneaux, c’est un critère de beauté!
Je comprends votre désarroi. Ce qui est insupportable, c’est le rejet dont ils font malheureusement l’objet!
On est bien en France, surtout quand on appartient au sexe féminin… Cependant il est vrai qu’on doit encore évoluer.
Bon séjour
BESITOS