Kampot, à deux heures de bus de Sihanoukville, est réputée pour ses cultures de poivre. Malheureusement, triste histoire encore une fois, tout comme le café, le poivre produit dans la région n’est pas vendu dans le coin, même pas au marché de Kampot. Il est vendu aux pays voisin, sûrement à cause du prix qu’ils peuvent appliquer. Le poivre que l’on trouve dans les marchés est du poivre vietnamien auquel est rajouté des produit chimiques. Donc le seul moyen de se procurer du vrai poivre est d’aller là où il est produit.
Armé de petit scooter semi-automatique (je les préfères aux automatiques, plus maniable et donc moins dangereux, mais surtout plus fun à conduire), je suis parti dans les environs de la ville, qui soit dit en passant est une ville plutôt sympathique avec ses bâtiments de l’époque coloniale (comme Battambang).
Je suis tout d’abord allé dans le parc national Bokor, au sommet de la montagne. Une heure sur une route de montagne agréable où j’ai un peu fait jou-jou avec ma bécane de course de 100cc. Arrivé aux sommet, j’ai fait le tours des points d’intérêt, comme un ancien casino construit par les français et détruit en parti par les Kmers rouge.
Une chute d’eau, sans trop d’eau, puisque c’est la saison sèche.
Une église.
Un temple.
Un grand Buddha.
Et surtout, une belle vu.
Ensuite je suis reparti en ville pour voir une gare ferroviaire dont j’avais entendu du bien, mais j’ai été un peu déçu.
Et il y avait un rond point sympa prêt de mon hôtel.
Ensuite je suis reparti dans la campagne, je suis passé par des salines, où il n’y avait pas encore de sel.
Puis j’ai pri la direction d’un champ de poivre pour prendre ma pause déjeuner. Mais sur la route je me suis arrêter dans une grotte où ce trouvait un temple, bon là encore j’aurai pu passer mon chemin, mais bon. Arrivé dans le champ de poivre, je suis allé au restaurant pour y deguster un lok-lak avec du poivre local, absolument magnifique.
Pour finir la journée, je suis allé sur les bords de la rivière pour me posé un peu après cette bonne journée.
Sur le chemin du retour je suis passé devant l’ancien pont de la ville qui n’est plus utilisé, logique, mais de nuit, il brille de mille feux.
Extra :